Ce sont des étudiants et étudiantes (du Bryn Mawr College, Philadelphia) à la fois surpris et sans aucun doute émerveillés qui ont répondu, accompagnés de leur directrice, Madame Brigitte Mahusier, à notre annuelle invitation. Cela à commencé vers les six heures du matin pour ne pas dires aux aurores !, tous ayant souhaité assister à la messe matinale, dite en provençal, au mas des Bayles.

  (Les bayles sont des membres de la Confrérie de Saint Eloi ayant l’honneur de la représenter en tant qu’administrateur délégué, et ce, pour une année). Recueillement certes, mais aussi admiration pour les magnifiques costumes des arlésiennes et pour les chants provençaux. Puis ce fur, ô surprise, le petit-déjeuner en plein air au milieu d’environ cinq cents personnes. Mortadelle, saucisson, saucisse grillée, fromage le tout arrosé de vin rouge permirent aux uns et aux autres de se mettre dans l’ambiance festive. La charrette était là s’offrant à ses connaisseurs et à ses admirateurs. Cette charrette particulièrement ouvragée est un monuments éphémère élevé à la gloire de Saint Eloi. Elle est garnie au mas des bayles avec du buis, du troène, du fusain, du blé noir, de l’avoine et des chardons cardères (plante ayant servi après le tissage, à tirer les fils de la trame, afin de rendre l’étoffe moelleuse, douce et chaude). On assiste au harnachement des soixante dix chevaux attelés en flèche (les chevaux de trait sont attelés à "la queue leu leu") qui vont tirer la charrette pour l’amener devant l’église pour recevoir la bénédiction. 

La procession effectue ensuite trois tours de ville au rythme incantatoire des tambours et galoubets (petites flûtes droites à trois trous utilisées en Provence et toujours accompagnées du tambourin) . A ce cortège typiquement provençal s’associent des groupes de maintenance de la langue et du costume régional.

VIdeos :

Mais pourquoi choisir cet "événement" pour cette rencontre traditionnelle entre Lions et Lionnes Avignon Doyen et ces jeunes étudiants de toutes nationalités qui se vouent à la langue, à la littérature, et à la culture françaises et qui viennent à tour de rôle chaque année en Université d’Eté à Avignon pour "bosser" et ainsi se perfectionner dans notre langue et notre culture ?

Faire connaître nos traditions , nos coutumes, notre gastronomie : c’est là qu’intervient le choix de cette fête locale traditionnelle de la Saint Eloi à Chateaurenard entre Alpîlles et Durance.

Saint Eloi (588-660) a été choisi comme patron par des corporations travaillant le métal dont les maréchaux ferrants et par extension de tous ceux qui travaillent avec les chevaux de trait.   Ainsi donc les paysans lui vouent un culte particulier : la confrérie de Chateaurenard aurait été créée au XVI éme siécle.    Chaque année les chateaurenardais organisent le premier dimanche de juillet la procession d’une charette garnie avec du buis, du fusain, du blé noir, de l’avoine et des chardons cardéres [2].   Elle est tirée par une soixantaine de chevaux (cette année 68) attelés en flêche [3], les premiers harnachés à la mode "sarrasine" [4]. Chaque cheval est mené par un charretier de la confrérie.

    Le matin au mas des bayles [5] est dite la messe en provençal suivie d’un "petit déjeuner" pittoresque partagé par environ 500 personnes. Donnons la parole à Madame Brigitte MAHUZIE.

 :"... je dois dire que cette année restera gravée dans ma mémoire comme celle où je serai revenue non seulement gavée de belles images et mets délicieux mais en outre bénie en provençal aprés une messe trés émouvante et trés belle. Comme quoi cela vaut la peine de se lever aux aurores, surtout lorsque la célébration religieuse du partage du pain est suivie d’un petit déjeuner de saucisses copieusement arrosées de vin rouge ! Comme le soulignait le prêtre qui officiait, il faut soigner le corps et l’esprit, ce que les Lions font particuliérement bien..."

Partant du mas des bayles (le plus souvent situé en    campagne à plus d’un kilométre du centre ville), la théorie  des chevaux préalablement harnachés conduit la charrette devant l’église pour recevoir la bénédiction. (Sous ces aspects spectaculaires, cette manifestation demeure un rite religieux que l’on doit  appréhender et respecter comme tel).

Lions et lionnes perpetuent ensuite au Petit Mas Pan Bouli [7] la traditionnelle rencontre avec les étudiants du Bryn Mawr leur faisant partager leur héritage culturel ...et la gastronomie locale en toute amitié et simplicité selon la devise du Petit Mas Pan Bouli "Votre plaisir est notre plaisir" !

Bernard REYNES, député-maire de Chateaurenard et son épouse cont venus au Petit mas Pan Bouli saluer les 65 participants à cette rencontre internationale.

lettre de madame Mahuzier

Les Etats en guerre en acceptent les règles qui régissent la prise des navires ennemis, leur cargaison mais aussi la possibilité de rançonner les personnes dont la notoriété et la fortune sont connus. C’est une véritable guerre économique car, en privant l’adversaire de matières premières, on va porter un préjudice sérieux à son industrie tout en s’enrichissant soi-même.

Cette guerre est du ressort d’entreprises privées qui arment ses bateaux en course.

L’Etat peut être actionnaire et percevra comme tout actionnaire la part qui lui revient augmentée de 10ù que prélèvent les service de douane sur toute les prises quelle que soit leur importance.

La première grande époque des corsaires se situe pendant les 25 dernières années déplorables et catastrophiques du règne de Lois XIV. Tous nos plus grands marins :Tourville, Dugay-Trouin, Cassard, Jean-Bart, et Forbin, officiers de la Royale ont été aussi de grands corsaires et si, dans les années de mauvaise récolte , ces hommes n’avaient pas ramené en France des envois complets de blé, le pays aurait encore souffert davantage de la famine et de la misère. Merci Jean-Bart, merci Cassard que la royauté a si mal récompensé.

La deuxième grande époque correspond à la Révolution et à l’Empire, nos corsaires poussèrent à la faillite des dizaines de compagnies de commerce anglaises. ’Etat anglais perdit des fortunes colossales. Ce fut l’oeuvre de Surcouf et de ses semblables. Surcouf manoeuvrier hors pair, tireur d’élite, combattant brillant, puissant, courageux et chanceux, n’admettait aucune brutalité, et aucune exaction de la part de ses hommes envers les vaincus dés que cessait la violence inouïe du combat qu’il livrait au navire dont il s’était rendu maître.

Les meilleurs capitaines étaient d’abord des gens de réflexion : avant d’aborder un bâtiment la question était de savoir si, de chasseur on allait pas être gibier.. de cette décision dépendait la vie et la fortune de tous.

Métier dangereux entre tous, mais métier lucratif, tous les corsaires étaient loin d’être des écervelés et nombre d’entre eux à 30 ans pouvaient prendre une retraite confortable. En Bretagne quelques 200 malouinières, grandes maisons bourgeoises accolées à un domaine important, témoignent encore de l’état financier de ces corsaires bretons.

Guy ROUVIERE

prise du Kent par Surcouf sur la Confiance

 vous pouvez compléter votre information sur Robert Surcouf par les liens : 
 cliquez sur :

Surcouf sur le site de Saint-Malo ... 
Surcouf sur wikipedia ... 
La prise du Kent...

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Pierre est un conteur hors pair. Il a une façon bien à lui de vous captiver : tout simplement par la simple transmission de son propre enthousiasme que lui procure le sujet qu’il aborde le plus souvent sans note tant il le maîtrise bien. Pierre enchante son auditoire pour la simple raison que c’est un passionné qui veut faire partager sa passion à son auditoire. Passionné c’est le mot car la Manufacture -pardon Marie Thérése- est bien sa maîtresse ... depuis sa plus tendre enfance .. ce qui tempère le mot passion.

 

                                                                L’auditoire

 

     Très jeune déjà aux cotés de son pére Louis, mais aussi avec la complicité de quelques employés aguerris, il découvre la manufacture et toute son histoire.Et puis dit-il "Il me semble que c’était hier. Ce matin d’août 1966 où, entrant dans le tissage, je devais ne plus jamais le quitter. Max et André travaillaient sur un nouveau venu : un métier à tisser sans navette. Papa était en voyage. Ils m’ont questionné. Quatre années à Roubaix pour décrocher un diplôme textile ne m’avaient rien révélé sur cette nouvelle manière de tisser. Un diplôme à peine vieux d’un mois !. Brutalement je me trouvais face à la nécessité de me remettre à apprendre. Un véritable électrochoc. J’entrais effectivement à l’école de la vie". (1)

C’est en 1808 que Pierre-Laurent et Charles Vian acquièrent la roue de Saint Elizabeth et fondent sur les bords de la Sorgue -dont les eaux fournissent en abondance eau et force motrice- un moulin paradou qui part d’une matière première : le tissu de laine, et le transforme en couvertures, cabans, marègues ... Vingt ans plus tard ils s’établissent sur le Domaine des Grands Jardins, site actuel de la société. 
En 1886 Emile Brun reprend la manufacture "Veuve Vian-Tiran" de ses beaux-parents et lui donne le nom "E.Brun de Vian-Tiran". 

Dès 1895 les Brun se lancent dans la modernisation et l’innovation au sein de l’entreprise en mettant en place un premier métier à tisser mécanique, puis, la source d’énergie hydraulique s’avérant de puissance insuffisante, un moteur à gaz suivi en 1922 de l’acquisition du Self-acting, machine à filer.  Tous ces perfectionnements qui continuent au fil des années conduisent à une production de plus en plus performante et élaborée. En 1960 ce sont les premières couvertures de poil de Chameau. Deux ans plus tard Louis Brun, le père de Pierre crée l’incontournable couverture Mohair. En 1975 arrivent les premières couvertures Alpaca et Cachemire aux 22 nuances naturelles puis les couvertures Cashgora.

                                             Self-acting

 

     Voulant bénéficier de l’engouement du moment et se placer sur le marché dans la catégorie haute gamme la manufacture se lance dans la fabrication de couettes en laine dont la renommée est toujours aussi grande de nos jours.

Pierre Brun est un technicien de première catégorie. C’est aussi et surtout un novateur pour qui la nouveauté est le moteur de l’expansion de l’entreprise en s’en tenant aux principes inculqués par son père Louis : "C’est à Louis Brun que je dois mon initiation à ce métier. Il l’a faite en attirant mon attention sur ces deux notions fondamentales : le beau et le bien, affirmant avec force la nécessité d’exercer notre métier en les ayant toujours présentes à l’esprit". 
C’est dans le droit fil de cet esprit que dans les années 2000 il ressuscite le mérinos d’Arles et lance la Collection Camargue en Mérinos d’Arles, la laine la plus fine d’Europe. Enfin en hommage à son père c’est en 2005 la création de la Collection Louis Brun dédiée aux fibres rares recherchées dans le monde entier.

Ainsi Brun de Vian-Tiran est l’incontestable leader de la couverture naturelle en France, distribuée exclusivement chez des spécialistes. Les commerçants partenaires de Brun de Vian-Tiran ne vendent pas une couverture Brun de Vian-Tiran sans connaître le besoin de leur client. Ils ont reçu une solide formation. Ils savent de quoi et comment est faite une couverture BVT. Il faut le savoir aussi : Brun de Vian-Tiran est partout sur les 5 continents : Allemagne, Andorre, Autriche, Belgique, Chili, Espagne, Etats-Unis, Grèce, Italie, Luxembourg, Pays Bas, Portugal, Russie, Suisse ... (2) ..."Chaque nuit, un peu plus de gens, heureux, sans compter, s’endorment d’un sommeil confortable sous une couverture ou une couette de rêve".

 

Ce beau parcours de 200 hivers "un couverturier ne compte pas en printemps", toutes ces inventions, ces investissements, ces créations de produit sont d’abord le fruit du travail des hommes et des femmes qui ont oeuvré et qui oeuvrent dans la manufacture aux cotés de 8 générations de la famille Brun de Vian-Tiran.

 

 

En 200 ans, ils ont affronté 2 guerres mondiales, des pénuries, des séismes économiques.  En 200 ans, ils ont produit 40 millions de km de fil (1000 fois le tour de la terre) et tissé 2000 ha de couvertures. La manufacture a transformé 25 millions de kg de laine ! Commençant son 3ème siècle de production, chaque année la manufacture transforme les toisons de 100,000 moutons, 20,000 mohair, 15,000 chèvres Cachemire, 6,000 alpacas et lamas, 25,000 chameaux auxquels il faut ajouter quelques Yack, Suri et Yangir, et, il ne faut pas l’oublier 2 ou 3 millions de cocons à soie !  Mis bout à bout, et en excluant les cocons de soie, ces animaux formeraient une file indienne de 200 km et il faudrait 200 bergers pour l’escorter.

 

La génération montante exporte les produits de la manufacture sur 5 continents. Pas une seule seconde sur 24 heures, il n’est, quelque part, un être humain qui n’entame une nuit pleine de promesses dans une couverture Brun de Vian-Tiran.

 

Aux côtés de Pierre la relève est là : Jean-Louis est très attaché à l’Isle-sur-Sorgue. Il contribue à renforcer l’image de la manufacture et la fait rayonner.

 

Et Marie-Thérése ! Parlons-en ! Les femmes ont toujours été très présentes et actives dans la gouvernance de l’entreprise. Particulièrement Loïsa qui assura l’intérim pendant les deux dernières guerres mondiales alors que leurs époux étaient au front. En 1973 Marie-Théréze lui succède et comme Loïsa elle a "tenu les comptes", ayant la charge de l’outil administratif et pilotant sa modernisation. En 200 ans la moitié du chemin parcouru l’a été par Loïsa et Marie Thérése qui prendra en ce début d’année 2009 une retraite bien méritée.

Quelle belle histoire que la saga des Brun racontée par Pierre Chacun des lions du Club doyen se sentait, ce soir-là, fier de compter parmi les membres un si gentil garçon, patron performant, fleuron de la manufacture lainière mondiale.

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(1).- "Une manufacture lainière en Provence" par Pierre BRUN éditions Equinoxe

(2).- Site de la manufacture : www.brundeviantiran.fr

Lire aussi "Hommes de la Crau"de Patrick Fabre éditions Cheminements Homme

 

 

 

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Le Lion fait le tour des Remparts

dimanche 22 octobre 2006 par MARTELLA Fernando, panbouli

Le dîner du 10 octobre a été l’occasion pour notre club de recevoir le club Soroptimist [1]avignonnais dont la présidente en exercice est Christine MARTELLA l’épouse de notre actuel président ...

Cette réunion, trés conviviale, au cours de laquelle a été intronisée une nouvelle "Sorop", Maïté CHABAS , a vu le lancement de l’opération "Les Promenades du Lion". Pour ce projet, notre club va travailler en osmose avec nos amies soroptimistes dans le but de promouvoir la publication d’un ouvrage de divulgation sur le patrimoine local.
	Sylvestre CLAP, archiviste de la ville d’Avignon, a bien voulu accepter de prendre en charge la rédaction du premier ouvrage qui sera consacré aux remparts d’Avignon, un sujet qu’il maîtrise admirablement puisqu’il vient de publier aux éditions Benezet, un livre trés complet qui fait référence, Les Remparts d’Avignon. Justement, le 10 octobre, Sylvestre CLAP était en notre compagnie pour nous parler, devinez de quoi ? : des remparts d’Avignon !
Bien sûr nos amis avignonnais ne se sont pas laissés complètement surprendre, mais la conférence a été pour nous tous l’occasion d’approfondir nos connaissances et égalemenr, de découvrir les aspects les plus insolites de ce monument exemplaire. Les murailles que nos connaissons ont été réalisées au XIV siécle pour protéger les bourgs qui s’étaient développés à l’extérieur de l’enceinte médiévale primitive. Avec leur développement de 4330 mètres et ses 36 tours flanquées d’une cinquantaine de tourettes, les fortifications étaient, avant tout, un ouvrage militaire de défense qui a répondu à sa mission première pendant de nombreuses années.

 

  Les remparts, avec le temps, ont assumés d’autres fonctions, économiques comme symboliques, et, jusqu’à nos jours, ont joué un rôle majeur de protection contre les fureurs impéteuses du Rhône.

Beaucoup de villes nous envient cet ouvrage extraordinairement préservé, mais si, aujourd’hui, la volonté de sa valorisation est unanime, il n’en a pas été toujours ainsi.

La destruction des remparts a été programmée à plusieurs reprises, par des maires plus soucieux d’une urbanisation rapide que de la conservation d’une identité historique.

Heureusement, nos remparts ont eu des alliés qui se sont battus pour les protéger, alors même que leur fonction militaire et l’utilité de l’octroi devenaient moindres. Rendons un hommage posthume à Esprit REQUIEN et Prosper MERIMEE, sans lesquels notre conférence aurait eu la saveur amère des regrets pour ce qui fut et n’est plus ...

	1856 - Edouard Baldus

  

                                                                                                                                                                 

inondations en Avignon 2003 © Vincent Flachaire

                                                                                                                       

Et c’est sans rancune que nos remparts continuent, encore aujourd’hui, à nous protéger vaillamment contre les excès de fureur de notre voisin, le Rhône, comme ils l’ont fait, il ya peu pendant les dernières inondations de 2003.

Recueilli par Fernando Martella

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le club soroptimist en savoir plus...

[1] Soroptimist International, organisation mondiale de service créée en 1921 à Oakland (Californie-U.S.A.) regroupant des femmes exerçant une profession et mettant leurs compétences au service des communautés locales, nationales et internationales.

 

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LA TERREUR BLANCHE DANS LE MIDI DE LA

FRANCE

jeudi 11 mai 2006 par HAYEZ Michel, panbouli

 

 

La Terreur blanche dans le Midi de la France et en particulier à Avignon, ce sont les épisodes que nous fait revivre en cette soirée du 11 avril, Gildard Guillaume, membre du club de Paris-Monceau-Grande armée.

  Un auteur d’ouvrages historiques (ce sera le troisiéme en l’occurence) doit un clin d’oeil au vénérable établissement qui nous abrite, l’Hôtel d’Europe, et d’évoquer le passage de Victor Hugo et de Juliette Drouet en septembre 1839, "Victor", le poète aux innombrables conquêtes (ou plutôt si, une centaine !).

Mais il faut traverser la rue pour se trouver (en imagination) dans l’hôtel du Palais Royal,cadre de l’assassinat du maréchal Brune le 2 août 1815. Le conférencier retrace en détail les circonstances du meurtre de ce compagnon d’armes de Bonaparte en Italie, vainqueur en Autriche, négociateur en Suède, et qui, aprés les Cents jours, reconnu et agressé par les émeutiers aux cris de "Assassin ! Bonapartiste !", est tué dans sa chambre d’un coup de feu à bout portant. Dans la ville qui a connu l’état de siège, les cafés bonapartistes ont été mis à sac.

Les armés alliées du tsar Alexandre 1er et de Wellington occupent la France et y excercent de grandes violences. Les Prussiens sont les plus redoutés, mais les Autrichiens limitent les dégâts à Avignon, Marseille, Nîmes.

L’épuration sous la deuxiéme Restauration des Bourbons visa des individus tandis qu’éclataient les violences populaires. Les victimes les plus en vue furent le général La bédoyèrefusillé à 25 ans dans la plaine de Grenelle, lemaréchal Ney, le "Brave des braves", prince de la Moskova, rallié à Louis XVIII puis revenu à Napoléon. L’ancien directeur des Postes, Lavalette, condamné à mort, eut plus de chance, grâce à un subterfuge de sa femme, qui lui permit de passer à l’étranger.

Le Midi fut donc particuliérement touché par les troubles de l’an 1815 : à Nîmes, les "miquelets", lie de la population, sévissent ; des femmes armées de battoirs hérissés de clous, participent aux massacres ; le général Lagarde, restaurateur du temple protestant, est exécuté. A Marseille, les ultra-royalistes s’en prennent aux mamelouks, Egyptiens ramenés de la campagne d’Egypte. Le commandant militaire de Toulouse, le général Ramel, fut massacré pour avoir voulu s’opposer à un débordement sans que le préfetcomte de Villèle, futur ministre, réagisse.

Gildard Guillaume esquisse la synthèse de ces événements de la Terreur blanche qu’il vient d’évoquer :  Lorsqu’il y a un changement de régime, l’on ne peut rien attendre de la justice ; des dossiers de procédure furent volés, les préfets se déclarèrent incompétents.  Quelles furent les causes de ces violences par lesquelles les femmes payèrent un lourd tribut mais se montrèrent aussi tortionnaires ?  ...  C’est qu’en chaque individu existe une part d’ombre qui se révèle lorsqu’il n’y a plus d’autorité.

Le traité de Paris (20 novembre 1815) laissait la France ruinée en raison des déprédations commises par les Alliés et du paiement d’amendes considérables. Il fallut attendre le régne de Louis-Philippe(1830-1848) pour que le pays se relevât, grâce aussi aux réserves de force extraordinaire du peuple.)

(propos recueillis et résumés pour nous par Michel Hayez)

Gildard Guillaume est avocat. Romancier d’aventure et d’enquête dans la tradition de Dumas et historien scrupuleux, il met en lumière des épisodes oubliés de la grande histoire française, à l’époque napoléonienne notamment ...

Gildard Guillaume a publié :

• Les Noces Rouges, L’Harmattan,2003
• La Sentinelle de Cabrera , Fayard, 2005
• Terreur Blanche, Fayard, 2006

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Notre vieil ami Denis MARTIN est venu le 14 mars nous présenter la Révolution de 1789 à Barbentane, un village qu’il connaît et aime bien (clin d’œil à notre Président !) pour y avoir retrouvé ses ancêtres et en avoir raconté l’histoire au XVIIe siècle dans un beau volume [1] publié par les Amis du Palais du Roure en 2004.

Après avoir analysé les signes prémonitoires de la rébellion contre l’ordre établi par l’Ancien Régime : trois seigneurs, trois consuls à la tête de 2000 âmes , artisans du textile, ménagers -ce sont de petites propriétaires-, bourgeois qui ayant eu maille à partir avec l’aristocratie locale participent l’heure venue, au bouillonnement intellectuel des assemblées du tiers-état à Arles, Tarascon, ;notre ami déroule avec brio le film des épisodes révolutionnaires. Le prêt d’argent proposé par les seigneurs et la commune dans l’été 1789 fut refusé dans l’émeute tandis que le serment à la constitution civile du clergé ne posa aucun problème aux sept prêtres résidents (janvier 1991).

Une garde nationale de quatre cents hommes commandés par vingt-quatre capitaines ! est levée dans l’euphorie et l’on assiste à la formation du club, La Société Patriotique. Celle-ci ne tarde pas à affronter la municipalité mais sa domination fut brève malgré le soutien (surprenant !)qu’elle reçu d’un membre de la famille des marquis, le général Hilarion de Puget de Barbentane..Affaibli par ses divisions internes, le club suscita une grande agitation et provoqua l’arrivée de trois commissaires de Marseille parmi lesquels Jean-François Martin, aïeul de notre conférencier.

Le fédéralisme (supporters des Girondins), puissant dans le Midi, oppose deux prêtres à Barbentane mais surtout y amène par réaction la création d’un Comité de Salut Public (été 1793). Des incarcérations ont lieu au château de Tarascon. C’est alors qu’une centaine de femmes s’opposent aux Jacobins en réclamant les clefs de l’église (mars 1794).   La chute de Robespierre en juillet 1794 ne marque pas la fin des troubles : les papiers et titres féodaux de la famille Robin sont alors brûlés ; rattrapé au moment de la Terreur blanche (1795), le maire est égorgé de même que cinq Barbentanais

massacrés parmi la vingtaine d’autres prisonniers du château de Tarascon : le prêtre « rouge », sorti e la prison d’Avignon, est exécuté aussi. Bref c’est un climat de vengeance qui règne et l’année 1796 commence dans la prostration : l’agriculture est en ruine, bien des familles pleurent leurs victimes.

Vingt ans plus tard la Restauration (retour des Bourbons) fut accueillie avec beaucoup d’enthousiasme.

En conclusion, l’on peut établir que la Révolution fit passer Barbentane d’une situation d’autarcie à une société vivant au rythme des grands événements parisiens, mais les rancoeurs accumulées pendant cette période créèrent pour un siècle et demi une fracture.Un exemple : jusqu’à 1930 environ, le cabaret des « rouges » exista à côté de celui des ... « blancs ».

Nous attendons avec impatience le prochain ouvrage de Denis Martin qui couvrira la Révolution mais aussi le XIXe siècle.

Compte rendu de Michel HAYEZ avril 2006

• en savoir plus sur Barbentane :
  • sur Wikipedia (l’encyclopédie libre que vous pouvez enrichir vous-même)http://fr.wikipedia.org/wiki/Barbentane
  • le site personnel de Maurice Courdon très documenté :http://barbentane13.free.fr/
  • site officiel de la ville de Barbentane :http://www.barbentane.fr/

     Le 11 Octobre (dîner statutaire), Mr Pierre MOLINIER, ingénieur informaticien sorti de Centrale, était notre invité pour nous présenter un "survol de l’art contemporain" [1].

Le conférencier, nourri de sa connaissance des musées américains autant que français, sur la base d’un schéma largement diffusé (heureusement !) parmi nous, faisait se succéder au rythme rapide des projections, les oeuvres emblématiques des artistes qui ont illustré la période de 1900-1970.

Habilement, P. Molinier rattachait neuf mouvements apparus au 20ème Siècle aux cinq antérieurs à 1900, à considérer comme de l’art moderne : 
 le cubisme+ [1](Picasso+) 
 le symbolisme+ (Gustave Moreau+), 
 l’expressionnisme+ (Edvard Munch+), 
 le mouvement dada+(la Suisse à l’avant-garde, les machineries de Marcel Duchamp +) 
 et le naïf+ (le Douanier Rousseau+, mais aussi Botero+).

L’on put constater qu’au delà de ces mouvements originels, la plupart des autres nous été inconnus + : 

 minimalisme+ , 
 "junk" (utilisation de détritus, mouvement représenté entre autre par Arman+récemment disparu), 
 industrialisme (eh ! oui ; Fernand Léger+), 
 " Fantasy "

(enfantillage, plus célèbre grâce à Marc Chagall+, Miro+ et de nombreux sculpteurs comme Calder+, Jean Tinguely+).

Oui, bien des noms émergèrent : Vasarely, Mondrian+, De Chirico, Balthus, Salvador Dali ("appartient" au surréalisme), Edward Hopper, Andy Warhol, Nicolas de Staël, Georges Mathieu, César avec ses "expressions" , Buren et Christo, tous deux rattachés à l’environnementalisme.

Calder travaillant sur "Beastie"

Bref, ce fut un vrai festival de couleurs et de maîtrise du sujet de la part du conférencier. Un cours d’histoire de l’art réussi.

Michel HAYEZ+ 
Ancien Conservateur Départemental des Archives de Vaucluse 
Conservateur Général Honoraire du Patrimoine

     Oui !, il y a de quoi complexer les organisateurs de notre prochaine rencontre à Avignon, au printemps prochain, Car tout a été parfait et à la limite parfois du grand luxe. Mais nous saurons relever le défit Fernando et Christine en tête, pour être à la hauteur de l’événement.

Nos amis de Salzbourg avaient conviés à l’événement de leur cinquantenaire de création leurs différents jumeaux : Avignon bien sûr, Sienne (qui s’est abstenu), mais aussi Strasbourg, Stuttgart et un club Bavarois de Schliersee Cela faisait beaucoup de monde ce qui nous a permis de connaître beaucoup de Lions et faire naitre le désir de les revoir, en particulier ceux de Strasbourg qui nous ont manifesté beaucoup d’empressement.

	Trés bon programme qui a débuté le jeudi soir sur les terrases de l’Hôtel Stein, en bordure de la Salzach d’où nous avons pu bénéficier d’un trés large panorama sur tous les grands monuments de la ville.
Tout au long de ce séjour nos amis Catherine et Michael DYK ont été à nos petits soins... mais aussi combien d’autres ! Pour ceux qui se rendront un jour à Salzbourg, nous leur conseillons la visite du Panorama de Hubert Satter dans la "Neue Residenz". Cette visite très appréciée a été suivie d’une collation chez un membre du club, Wolfganb Haider, propriétaire du Café mozARTs...
La réception du soir nous a conduit au "Kavalierhaus" du Château de Klessheim. Un groupe très sympathique de cinq jeunes femmes nous ont tous enthousiasmés par leur chants polyphoniques. Cette soirée s’est terminée par un majestueux feu d’artifice vu de la terrasse du château.

La matinée du samedi a été consacrée à la cérémonie du cinquantenaire qui s’est déroulée dans la "Weisser Saal" de la Alte Residentz en présence des hautes personalités régionales et locales, aussi bien politiques que du Lionisme. Heureuse intiative ! Chaque discours était entrecoupé d’une séquence musicale donnée par la "Junge Philharmonie" dirigée par Elisbeth Fushs.

Un tramway de la belle époque, le propriétaire de l’entreprise des tramways de Salzburg étant comme il se doit membre du Club, nous a transporté vers le lac de Saint Wolfgand. C’est en bateau que nous avons regagné ce magnifique village où se situe une église magnifique, avec un promenoir extérieur bordé d’arcades ouvrant des vues plongeantes sur le lac Puis nous nous sommes rendus au château de Fuschl pour le dîner de gala.

Au cours de l’apéritif notre président de la commission jumelage, Fernando, a su , comme à son habitude, dans son langage coloré, remercier et féliciter nos hôtes.

L’hôtel-château Schloss Fuschl est trés réputé. A titre indicatif pour ceux qui seraient intêressés la Mozart Suite avec vue sue le lac est tarifièe 4200 euos ... la nuit . Comme à chaque fois nous sommes revenus enchantés de notre participation à cet événement, en regrettant de n’y avoir pas été plus nombreux, mais en se consolant de constater avec tristesse que nos amis de Sienne s’étaient abstenus d’y participer pour des raisons que nous ignorons.

 

 

quelques photos complémentaires en vrac, cliquez pour agrandir :

Les clubs lion’s d’Avignon de Siena et de Salzburg sont jumelés. Ils se sont rencontrés cette année à Avignon.

Depuis quelques années lors de ces rencontres il est devenu traditionnel que les 3 clubs aident ensemble une oeuvre locale.

Ils ont décidés de soutenir l’action de l’Association du Mas de Carles.

C’est lors d’une réception en mairie de Villeneuve en présence du député-maire, Jean-Marc Roubaud qu’a été remis un chèque de 3 000 € au président de cette association le père Olivier Pety.

 Dans cette vidéo après l’allocution du maire et la remise du chèque, le pére Olivier revient sur les motivations de son association, ses actions, ses méthodes et ses projets...

Grâce à l’énergie dépensée par Roger Carpentier et son équipe (Bernard Grapin et Gérard Petit) nous avons pu bénéficier de très bons articles de presse commentant cette manifestation dans le Midi Libre et la Provence (Edition du Gard) 

La Provence.pdf	Midi Libre.pdf

 liens

• site du Mas de Carles
• site du lion’s club de Salzburg
• site de Villeneuve les avignon
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  C’est sur les terres de Mozart que s’est déplacée, cette année, la petite caravane des jumeaux avignonnais. Accueillis chaleureusement (il valait mieux compte tenu de la rigueur du printemps autrichien) par nos amis salzbourgeois, nous y avons rejoint une bonne troupe de siennois, pour profiter entre autres des festivités organisées en l’honneur du club Salzbourg Doyen qui fêtait ses cinquante ans.

 

Vendredi 28 avril : la promenade en bateau ou l’échec d’une vengeance

Ça faisait des années que les salzbourgeois préparaient le plat froid de la vengeance ! Les traversées sur des mers démontées, pour visiter les îles provençales ... ils en avaient encore l’estomac retourné ! Alors, ils nous avaient mijoté une promenade en bateau sur le Salzach en pleine, par temps de pluie, mais ... trop de zèle nuit. Les eaux étaient vraiment trop hautes et le courant prohibitif ! Il a fallu se rabattre sur un dîner au château, avec visite des chemins de ronde, jusque sur la tour haute, pour bénéficier d’une vue imprenable sur la ville, dans une ambiance caractéristique autrichienne (c’est-à-dire bottes, ciré et parapluie). Une mise en bouche pour le lendemain.

 

 

Samedi 29 avril : dur, dur la vie du pauvre paysan autrichien

Le matin, un petit cocktail de tradition et de modernité : après la visite d’un atelier de fabrication de vêtements typiques, nous sommes allés admirer le dôme tout en verre et acier du magnat patron de Red Bull, pour finir à l’apéro chez "Carpe Diem" : « Weil wir den Dienstag zum Carpe Dienstag machen ! ». Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais ça ne doit pas être n’importe quoi. Puis, nous avons pris des forces au restaurant Sternbräu (Kaiserstube). Enfin, l’après midi, le coup de grâce : la visite du Musée de Plein Air (Salzburger Freilichmuseum), par un climat hivernal, expressément préparé pour nous.

Dans la pluie et la neige fondue, nous avons promené dans les bois (bottes, ciré et parapluie) pour visiter les exemples les plus caractéristiques de l’architecture rurale autrichienne. Les pauvres paysans ! Ils devaient en baver ! Nous avons bien essayé pour voir ! Le soir, dans les bois, nous étions canés et ... la bière aidant, quelqu’un s’est laissé aller, entre un verre et l’autre, à la danse folklorique, sans réserve aucune !

 

 

Dimanche 30 avril : la fin en apothéose

Le dimanche matin, j’en connais qui ne voulaient pas se lever. La messe chantée à 9 heures c’était pourtant bien. Madame Christine dit que c’était bien recueilli, nonobstant la foule nombreuse qui se pressait dans les bas-côtés.

Visite de la vieille ville, repas au musée d’art moderne avec vue imprenable sur la ville et, le tout, sous un temps radieux. Pas de doute, nous reviendrons ! Oubliés les bottes, le ciré et le parapluie : Salzbourg est vraiment une ville merveilleuse où il fait bon vivre !

Enfin, le soir l’apothéose : fastueuse réception dans les pierres de la "Alte Residenz", sur le thème : L’enterrement de la vie de garçon de Figaro (1400 invités, s’il vous plaît). Au programme, jusqu’à 2 heures du mat : 
 D’abord, « Divertente serenata mozartiana » et concert de Matteo Andreini au piano, dans la Carabinierisaal, 
 Ensuite, dans la Konferenzsaal, buffet avec viandes chaudes et froides, boissons servies à table au choix et musique du "Trio Mozart" de Sazbourg. 
 Enfin, visite de l’exposition "Viva Mozart".

 

Lundi 1er mai : demain l’école

Le lendemain, les Martella, en route vers la maison : l’école nous attendait. Finie la bière à gogo, finies les vertes montagnes du Salzkaammergut. Les autres, les veinards (les Pialot, les Videau et Bernadette) ont pris la route de l’école buissonnière, avec un petit crochet à Venise, histoire d’enterrer progressivement la vie de garçon retrouvée. Mais c’est juré ! Dans trois ans, nous y retournerons !

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SALZBOURG 2006 nous attend ...

vendredi 27 janvier 2006 par panbouli

 

 

Nos amis salzbourgeois nous attendent nombreux à la fois pour les festivités du jumelage sous le signe de Mozart, mais aussi pour fêter avec eux et leurs jumeaux de Strasbourg, Francfort et Sienne le cinquantenaire de leur remise de charte.

Je vous demande avec une insistance bien compréhensible de me faire part de votre intention de faire ou non le déplacement.

Programme du Jumelage

 Vendredi 28 avril

en bateau-mouche sur la Salzach

- Arrivée des participants

Installation

17h45 : départ pour le bateau (10 minutes à pied)

Promenade en bateau (durée 30 minutes environ).

Dîner sur le bateau (ou sur l’embarcadère)

 Samedi 29 avril

- Matinée libre (shoping dans la vieille ville).

16h00 : départ en bus pour le musée en plein air.

Chalet d’accueil du musée

• Visite guidée du Musée.
• Puis bowling et tir à l’arbaléte.
• Dîner.

 Dimanche 30 avril

La Madone de Pacher dans l’Eglise des Franciscains

- Cinquantenaire du Club 09h00 : Messe catholique à l’église des Franciscains.(Missa brevis.W.M.Mozart KV 29)

10h30 : Visite guidée de la vieille ville.

15h30 : Lions get together Réception dans l’« Alte Residenz »

17h00 : Célébration officielle du Lions Club Salzburg

18h30 : Soirée caritative

Figaro nous attend..

.« L’enterrement de vie de garçon de Figaro

 Lundi 1er mai :

Petit déjeuner à l’Hôtel. Départ

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 Participation : 185 euros

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Je t’invite à te rendre sur les sites suivants (en cliquant dessus) pour plus d’informations sur 
 Mozart 
 site de la ville de Salzbourg (en français) 
 Lions Club Salzbourg

Notre président Jean Marcel Schmitt a accueilli notre hôte,

Monsieur le Maire de Barbentane

qui depuis quelques années déjà a l’extrême gentillesse de mettre la salle municipale à notre disposition.

Après un premier heureux vainqueur,

c’est Alain Nitard qui gagne encore ! Alain et son épouse Françoise sont des fidèles de notre manifestation.

Cela leur réussit, car chaque année ils gagnent ; en 2009 ils ont remporté le voyage en Tunisie !

Comme à l’accoutumée le lunch arrive à point pour donner des forces aux futurs gagnants.

Tout cela surveillé de très prés par Maurice et avec inquiétude par Claudie. Quelle soit tranquillisèe cela a été parfait.

Nos duettistes cette année encore n’arrivent pas à faire gagner tout le monde,

mais il sont en progrès : pour la fameuse "partie corse" il y en a eu au moins un !

Heureux hasard. C’est avec un réél et très grand plaisir que nous avons applaudi Monsieur le Maire, gagnant du gros lot : un voyage dans un choix de plusieurs destinations.

Merci aux 160 participants qui ont contribué au succès de ce loto parfaitement bien organisé par Maurice et Claudie et dont le bénéfice net de plus de 4,000 euros viendra grossir la dotation à nos oeuvres.

C’est Monsieur le maire du village de Barbentane qui nous offrait cette année l’hospitalité dans la très agréable et très accueillante salle municipale des fêtes. Monsieur Jean-Louis Ichartel, maire, nous accueillit avec sa gentillesse habituelle, très applaudit par un public impatient d’en découdre avec les balottes !

L’ambiance fut chaleureuse, le champagne pétillat et le lunch fut comme à l’accoutumée apprécié de tous.

Quelle satisfaction d’y retrouver des amis qui nous "suivent" depuis des années ! On a l’impression, mais c’est en fait une réalité, que tout le monde se connaît et se reconnaît. Claudie,Christine, Bernard, circulent entre les tables soucieux qu’ils sont d’éviter à nos hôtes les inconvénients d’une éventuelle déshydratation. Leur passage, suivi de brèves détonations, contribue c’est certain, à l’exaltation générale ... et au contentement du trésorier ...

Nombreux furent les heureux gagnants. Même les non-gagnants de la soirée repartirent chacun avec un lot de consolation.

Le gros lot, une semaine pour 2 en Tunisie, fut décroché par Alain Nitard et son épouse. Juste récompense pour un couple des plus fidèles aux diverses manifestations de notre club.

On ne dira jamais assez la somme de dévouement et de travail que représente la préparation, l’organisation et la réalisation d’une telle manifestation. Notre président Maurice Pialot organisateur avec Claudie son épouse de ce loto réussirent avec beaucoup de brio ce challenge.

Bravo Maurice, Bravo Claudie et bravo aussi aux lions, lionnes et amis qui ne ménagèrent pas eux aussi leur peine.

Ce loto a rapporté en bénéfice net d’un peu plus de 3600 euros qui viendront alimenter la caisse de nos oeuvres.

Voici quelques photos prises "à chaud" par Fernando MARTELLA avec son Hi-Phone... Ce qui explique la qualité du rendu des photographies qui n’a rien à voir avec la qualité intrinsèque du photographe !

Lors de la venue du Gouverneur :

Notre président Bernard GRAPIN remet le fanion de notre club à William GALLIGANI, gouverneur de notre distict.

Remise de décoration de haut niveau à Guy ROUVIERE pour ses multiples effots concluants dans le domaine du recrutement.

Lors du dernier repas mixte ce 08 décembre à notre siége :

Remise de décoration à Jean PASSEBOIS pour sa contribution au recrutement.

Lors de cette même soirée Guy ROUVIERE a séduit son auditoire lors de son exposé talentueux sur les "Maréchaux de l’Empire".

Monique et Pierre VIDEAU arrivent d’un séjour à Marrakech. Ils se sont rendus à ZAOUIT, le village "revitalisé " par les éléves du lycée Saint Joseph d’Avignon. Ils nous proposent quelques photos ...

Zaouit sidi ahmed, commune d’Aït Zineb, province d’Ouarzazate ... c’est tout droit !

... après le passage d’un gué ...

... la ferme de Zaouit ...

... l’étable (actuellement 4 vaches pour faire vivre l’entreprise ! ...

... la future fromagerie n’est pas encore en service. Peut-être en 2010 ? ...

... dans la cour de la ferme ...

... toujours en travaux d’agrandissement ...

... pour ce faire : fabrique de pisé par des éléves de Saint Jo ...

... et pour clôturer la visite , le thé de l’amitié ...

Monique et Pierre Videau octobre 2009

"Un homme découvrit un trésor dans un champ.

Dans sa joie, il s’en alla, vendit tout ce qu’il possédait et acheta le champ. cet homme c’est moi-même ; le trésor c’est le Mas de Carles. Ainsi s’exprime Joseph Peyrat dans son testament spirituel le 15 janvier 1981.

Ainsi donc, née à l’initiative du Père Joseph Persat, prêtre du diocèse d’Avignon, l’Association dite du Mas de Carles est le fruit de la rencontre de deux urgences : la situation des plus pauvres, leur accueil, leur défense, leur promotion et l’évangile à vivre au présent de la vie des hommes.

Le Mas de Carles est un lieu de premier accueil où sont prises en charge spontanément des personnes en grande précarité, peu capables de développer un projet particulier autre que vivre, dormir, manger et retrouver une hygiène de vie. Hébergement, vie commune, accès à la citoyenneté, participation à une activité productrice sur place sont les piliers de cet accueil. Cette activité se décline en plusieurs ateliers :

maraîchage et arboriculture (bio), pierre sèche, chèvrerie (fromages pélardons AOC (bio), groupe de parole et d’écriture.

Mais cette entreprise a commencé très modestement. Dés le début, quelques personnes en situation d’errance ou de grande fragilité sont hébergées au mas.

Un petit jardin procure quelques légumes... et trois chèvres ... sèment la panique dans le jardin !

Le nombre de personnes accueillies augmentant chaque année, l’association "Mas de Carles" est créée. En 1988 année de naissance du RMI un éducateur est embauché. Une pédagogie de l’accueil est définie, une structure de gestion est mise en place ainsi qu’un projet pédagogique. Puis dés 1991 un deuxième homme et embauché comme polyvalent suivi bientôt de plusieurs autres collaborateurs et collaboratrices.La chèvrerie passe aux normes européennes, le déboisement permet de replanter la propriété en arbres fruitiers.

Aujourd’hui l’association fonctionne parfaitement bien sous la présidence du père Olivier PETIT, de son directeur Jacques VIGENT et de son trésorier Jean FARINE,

avec des "normes" bien définies à savoir :

On peut :

 être hébergé sans condition de temps, selon la situation de chacun et dans l’acceptation d’un règlement intérieur 
 avoir un contrat de travail dans le cadre d’un "chantier d’utilité sociale" 
 suivre une formation attestée par une reconnaissance intérieure, première étape vers la mise en oeuvre d’une future Validation des Acquis de l’Expérience . 
 venir en accueil de jour sans hébergement 
 permettre aux anciens hébergés de maintenir un lien avec le Mas

en s’appuyant aussi sur des "convictions" bien définies :

 le refus d’une assistance passive : la personne participe au financement de son accueil par son implication dans les activités du Mas (chèvrerie, fromages, maraîchage, déforestation, etc...) 
 une vie en commun : l’insertion dans une communauté humaine permet de (re)trouver son identité. 
 la recherche d’une qualité de la vie : réhabilitation des personnes dans une activité. 
 la recherche d’une qualité des productions : fromages, fruits, légumes,...(bios vendus sur le marché de Villeneuve les Avignon. 
 une formation qualifiante pour rebondir ailleurs (validation des acquis ?) 
 travail en réseau avec d’autres associations parce que personne ne fait tout tout seul.

Cette magnifique entreprise ne se fait pas sans concours. Concours humains certes, mais aussi, disons-le sans ambages, concours financiers.

Il faut savoir que la vente des produits de la ferme ne représentent que 30% des besoins financiers. Le reste plus ou moins aléatoire, est dû aux subventions de certains corps constitués et des dons des "généreux donateurs". Des demandes d’accueil en constant accroissement font exploser les budgets. Face au plafonnement des subventions, l’augmentation des dons est la seule possibilité de poursuivre les actions sans pénaliser les personnes accueillies.

Pourquoi des hommes et femmes de tous horizons, de toutes confessions, à l’exemple du Lions Club Avignon Doyen et autres clubs ne viendraient-ils pas rejoindre les donateurs pour offrir aux plus démunis un espace pour se reconstruire ? Certaines disposition fiscales, l’amendement Coluche... peuvent être des incitations.

PRV

Vous savez...

Ce groupe de jeunes de Saint Jo qui se dépense pour faire revivre une village marocain ...

Non ? vous avez oublié ?

Ce rendez-vous avec Madame Valérie Gensonnet qui nous a exposé le projet de faire revivre un vlllage des environs de OUARZAZATE.

Ce groupe de jeunes auquel nous avons remis deux fois un chéque de 1500 euros..

Ils nous ont invité au vernissage de l’expossition "Zaouit de Vie". L’invitation nous est arrivée trop tard !!!

Mais rien n’est perdu. Rendez-vous "Portes Ouvertes" samedi 8 avril à Saint Jo.

(Parking dans la cour du lycée, entrée par la rue du Portail Maganen).

Notre commission des Oeuvres Sociales invitait le 10 janvier un professeur du lycée Saint Joseph, Madame Valérie Gensonnet, accompagnée de trois élèves , garçon et fille (sont concernées les secondes premières et terminales) pour nous présenter l’action que la classe Solidarité du lycée mène depuis quelques années en faveur d’un village abandonné distant de 30 kms environ de Ouarzazate, Zaouit Sidi Ahmed .

Ce groupe sympathique de jeunes a reçu au fil des mois le soutien des ONG Dia et Fonds Diwan, devenues ses partenaires, des Rotariens d’Orange-Arausio, Beaucaire et Roquemaure, de France-Afrique-Madagascar (association), Cœur du Monde (étudiants lyonnais), Jeunesse franco-marocaine (association avignonnaise) , de l’Ecole d’Agronomie de Mekhnès, etc... Un concours bénévole impressionnant !

Mais après l’ouverture du chantier d’un second puits -à embellir -, d’une porte en pisé, symbole de collaboration, après la récolte de la luzerne pour nourrir les chèvres de la fromagerie projetée, le montage d’activités artistiques et sportives pour les enfants des trois écoles du secteur (500 enfants), le tout effectué courant mars avril 2005 par les quinze élèves de cette classe Solidarité avec l’aide des jeunes marocains, fort motivés, les besoins restent considérables. Le dénuement de cette population est en effet impressionnant : enfants sous-alimentés, pénurie de maîtres, absence de cantine, de sanitaires, de matériel scolaire, d’électricité !

La projection d’une video réalisée par un élève témoignait de la naissance de solides liens d’amitié et illustrait ce bel exemple de sensibilisation des élèves au développement durable et à l’action humanitaire, une action qui sera poursuivie au printemps prochain.

En remerciant Madame Gensonnet, Roger Carpentier, aux cotés du président, lui remettait au nom du club un chèque de 1,500 euros pour aider à la réalisation du deuxième puits.

le puits est terminé, il ne lui manque que la pompe.

 le site su village 
 le site de la classe solidarité

Message à tous nos sympathisants :

Moi, vous, les parents, les voisins, tous enfin ! ... On entasse, on stocke, on encombre ... le plus souvent on oublie où et pourquoi.... Parce que « ça pourrait peut-être servir un jour ? » Grosse erreur ...

Car en vérité on ne se sert jamais de cette manne amassée au fil des jours et des ans, ne sachant même plus ce qui a été « stocké » et où...

Quand on tombe dessus ou quand on fouine un peu, la raison commande de trier ... de jeter ...ou de donner.

Le Lions Club Avignon Doyen vous dit : Donnez ! Donnez-lui !

Des membres de notre Club se rendront à votre domicile recueillir tous les objets perdus, entassés, oubliés qui encombrent vos placards, garages et greniers, prêts à êtres jetés pour les vendre ensuite dans les brocantes et récupérer ainsi de l’argent frais pour les œuvres du Club.

Alors n’hésitez pas : Faites le ménage ! Déstockez !

Prenez contact avec l’équipe de ramassage de notre Club :

 pour AVIGNON et ses environs : 
Roger Carpentier 
04 90 85 30
 pour VILLENEUVE et ses environs : 
Gérard Petit 
04 90 25 01 79
 pour le Nord des Bouches du Rhône : 
Pierre VIDEAU 
04 90 94 35 98 
Jean CARLIER 
04 90 95 79 88 
 Et plus généralement en nous contactant sur ce site

... notre président Fernando MARTELLA a eu le plaisir de remettre les insignes de 25 ans de présence au sein de Club Doyen à Gérard PETIT. Entré au club en 1983 Gérard a su par sa courtoisie, sa gentillesse se faire apprécier et aimé de tous les membres du club. Nous souhaitons à Gérard patience et longue vie afin que nous puissions le fêter à nouveau en 2013 pour ses 30 années de présence au club.

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Distinction

mercredi 2 janvier 2008 par panbouli

 

Cabannes est un petit village situé entre Alpilles et Durance, à proximité deChateaurenard, chef-lieu de canton du nord des Bouches du Rhône ...

Le 19 octobre le club célébrait son trentième anniversaire de remise de chartre. Notre club,Avignon Doyen était invité à cette manifestation qui se déroulait dans le merveilleux cadre du Moulin de Vernègues.

discours de Jean-Claude AGOSTINI, président en exercice du club de CHATEAURENARD-CABANNES entouré des nombreuses personalités

Nous y étions : notre président Fernando MARTELLA et son épouse Christine ainsi que Monique et Pierre Roland VIDEAU.

Christine MARTELLA et Monique VIDEAU enntourunt le président fondateur Rolland FABRE,

Entre 120 et 150 personnes se retrouvaient pour honorer ce club dont notre gouverneur Alain DESBORBES et son épouse, Bernard REYNES député-maire de Chateaurenard et son épouse, les maires de Cabannes et Sénas et leurs épouses, Henri BOBE du SEL et de nombreux membres de clubs voisins : Cavaillon, Saint Rémy, Chateaurenard en Provence, Beaucaire, Tarascon, la Roque d’Anthéron ...

et

Jean Claude AGOSTINI est venu saluer l’épouse du président du club jumeau italien ainsi que Pierre VIDEAU du Club Avignon Doyen

Roberto de LISOTA président du club italien jumeau de Castiglione dei Pepoli et son épouse.

Ce fut une manifestation parfaitement bien organisée et trés réussie.

Grâce à l’amabilité de Jean Claude BONIS du Club de Cavaillon et de son épouse Claudie auxquels nous adressons nos compliments pour ce reportage et nos remerciements de nous permettre d’en faire profiter nos membres, nous avons pu vous livrer quelques photos de cette trés agréable rencontre.

Fenando MARTELLA président du club AVIGNON DOYEN ...

Jean Claude AGOSTINI , le gouverneur Alain DESBORBES et le député-maire Bernard REYNES

échange de cadeaux entre le président J.C AGOSTINI et le président Roberto de Lisotta président du club jumeau italien de CASTIGLIONI DEI PEPOLI

INTRODUCTION PRESIDENT DE ZONE (Michel Durand)

ACTION DE ZONE  : Organiser quelque chose autour du festival. Une personne par club dans le groupe de réflexion.

OPERATION BOL DE RIZ : Repas bol de riz au prix d’un repas restaurant, permettant de consacrer le complément aux oeuvres.

EFFECTIF : Renverser la pyramide des âges . Faire un effort au niveau des effectifs.

DIVERS : Réfléchir sur les fondamentaux : le code éthique.

PROCHAINE REUNION : en novembre organisée par Avignon 2000 à l’occasion de leur réunion statutaire (transformée en commando de l’amitié).

CANDIDATURE RAYMOND

Le responsable formation pour le district et district multiple, pose sa candidature au poste de vice-gouverneur 2007/2008.

OBJECTIF : Mandat sous le signe de la qualité. Rétablir la confiance.

DISCOURS DU GOUVERNEUR STOFFEL-MUNCK

OBJECTIF : Faire passer le message du Président International. Donner des informations au secrétaire et au trésorier.

MESSAGE DU PRESIDENT INTERNATIONAL :

Etre Lion c’est : 
 Répondre aux besoins de la communauté. 
 Susciter l’admiration autour de soi 
 Travailler dur pour réaliser nos objectifs 
 Bien faire et le faire savoir.

RAPPEL DE L’ACTION SOCIALE 2006/2007 :

 International : Sight First ii 
 National : Enfants et Santé 
 District : Humaniterra

PPROTOCOLE DE ZONE :

le réactiver pour permettre à un membre de la zone de participer à la convention internationale : un élément fédérateur.

ACCROISSEMENT DES EFFECTIFS :

Un objectif prioritaire, pour offrir la possibilité à des nouveaux membres de partager notre passion et pour apporter de nouveaux talents et rajeunir nos clubs. Intensifier les opérations ’portes ouvertes".

Le Gouverneur est responsable : - du 20éme Téléthon. - de l’environnement. - de la sécurité routiére

20éme TELETHON :

Vendredi 8 et samedi 9 décembre 2006. - Délégué de district : André Sabaud - Responsable promesses Avignon : Pierre Bourdelles. - Correspondant département Opération Force T : André Dhayer.

OPERATION CITROUILLE/CARROSSE :

Collecter des dons des Lions, parents et amis. - Enveloppes confidentielles à mettre dans l’enveloppe carrosse envoyée par le trésorier le 22 novembre. - Chéques rédigés à l’ordre de l’AFM 20éme Téléthon.

COLLECTE TELEPHONES :

3 euros pour l’AFM par téléphone récoltés lors du congrés d’automne et dans les centres de promesses Téléthon.

CONGRES D’AUTOMNE :

Salle Paul Eluard à La Ciotat le 28 octobre de 7h30 à 13h30. - Nouvelle formule avec deux conférences tenues par des personalités : --- Bernard Deflesselles, député des Bouches du Rhône (ITER). --- Jean François Mattei (l’Homme en quête d’humanité).

SECRETAIRE DE DISTRICT (Claude Cappez)

Rappel pour l’envoi du RME avant le 5 de chaque mois. - Le tésorier insiste pour que les cotisations soient payées dans les délais.

ooOoo